Notre ADN peut aider à définir comment nous sommes sympathiques

Les gènes, la bonté impact sur l'environnement, la générosité

Par Salynn Boyles
Guidespecially Nouvelles Santé Commenté par Laura J. Martin, Guidespecially

Les gens sympathiques sont-ils nés ainsi?

En partie, suggère une nouvelle étude, mais les gènes ne disent pas toute l'histoire.

La nouvelle recherche ajoute à la preuve liant les gènes spécifiques à la bonté et la générosité, mais ces traits ont également été influencés par des opinions quant à savoir si le monde était un endroit menaçant ou non en danger.

Ainsi, bien que l'ADN peut influencer le comportement, les gens ne viennent pas pré-programmé pour être gentil ou méchant ou altruiste ou égoïste, dit le chercheur principal, Michael Poulin, Ph.D., de l'Université de Buffalo.

"Nous ne sommes pas des marionnettes de nos gènes», Poulin dit Guidespecially. «Les gènes influencent la gentillesse en combinaison avec les perceptions de la menace sociale, qui viennent de nos expériences passées et présentes."

L'ocytocine, la vasopressine: Les gènes de la gentillesse?

Poulin et ses collègues de l'Université de Buffalo et de l'Université de Californie, Irvine, ont concentré leurs recherches sur le étroitement liées l'ocytocine et la vasopressine hormones, qui ont déjà été associé à des comportements sociaux, y compris l'amour, la générosité et l'empathie.

Ils voulaient savoir comment l'expression des deux gènes interagissent avec les expériences des gens et des sentiments d'affecter le comportement.

Pour ce faire, ils sondage auprès de personnes via l'Internet au sujet de leurs opinions sur la responsabilité civique, comme s'ils considéraient que c'était leur devoir de signaler des crimes ou payer des impôts, et si elles ont participé à des activités de bienfaisance telles que donner du sang ou à des réunions de la ZEP.

Les participants à l'étude ont également été demandé si ils ont vu d'autres personnes comme étant fondamentalement «bon» ou «mauvais», et si ils voyaient le monde comme étant plus «menaçant» ou «non menaçant».

Environ 700 de ceux qui ont participé ont également fourni la salive des échantillons pour analyse de l'ADN, qui a montré qu'ils avaient des récepteurs spécifiques génétiques pour ocytocine et la vasopressine qui ont été liés à des traits associés à la gentillesse.

Les gens qui ont déclaré trouver que le monde soit un endroit menaçant étaient généralement moins susceptibles de manifester des comportements sociaux liés à la gentillesse, comme les dons de bienfaisance - à moins d'avoir ces versions des gènes.

L'étude paraît dans le numéro de ce mois de la revue Psychological Science.

Poulin affirme que le fait que les gènes de prévoir le comportement uniquement en combinaison avec les expériences des gens et leurs sentiments sur le monde n'est pas surprenant, car la plupart des connexions entre l'ADN et le comportement social sont complexes.

"L'hormone de l'amour"

L'ocytocine est connue depuis longtemps à jouer un rôle majeur dans l'accouchement et l'allaitement, mais au cours de la dernière décennie de nombreuses études ont lié de façon plus générale à la mère-enfant et à d'autres aspects des interactions sociales.

Pour cette raison, il a été diversement dénommé "hormone de l'amour» et «produits chimiques câlin."

Noms mignons de côté, l'Université du Maryland School of Medicine professeur et président Margaret McCarthy, PhD, dit la preuve que l'ocytocine et la vasopressine jouent un rôle majeur dans l'interaction sociale humaine est maintenant assez forte.

"Les êtres humains sont intensément sociale, et ces hormones peuvent avoir beaucoup à voir avec cela que nous avons évolué pour être si sociale et si coopératif," McCarthy dit Guidespecially. "Il est intéressant de noter que d'une hormone qui existe pour les fins de donner naissance et l'allaitement a été coopté pour faciliter une plus grande confiance et la coopération avec les étrangers."

Elle dit que la recherche de nouveaux, comme les études précédentes, met en évidence l'interaction entre les gènes et l'environnement dans la détermination du comportement.